Nouvelles pièces uniques Vacheron Constantin Les Cabinotiers « Mécaniques Sauvages »

Communiqué de presse – SIHH 2019

Nouvelles pièces uniques Vacheron Constantin Les Cabinotiers « Mécaniques Sauvages »

A l’occasion du SIHH 2019, Vacheron Constantin complète l’assortiment exclusif de pièces uniques « Mécaniques Sauvages » réalisées par le département Les Cabinotiers et révélées en novembre 2018. Les nouvelles créations mettant en scène tigres et pandas restituent avec force la majesté de ces animaux sauvages, grâce à la maîtrise combinée de la technique horlogère et de celle des métiers d’art.

Département Les Cabinotiers : la passion héritée du Siècle des Lumières

A Genève, au 18ème siècle, les différents corps de métiers liés à l’horlogerie étaient exercés par de prestigieux artisans qui travaillaient dans des cabinets baignés de lumière situés aux étages supérieurs des maisons. Ainsi appelés « Les Cabinotiers », nourris par la philosophie des Lumières, ils se distinguaient par leur érudition et par la complexité tant technique qu’esthétique de leurs garde-temps, pièces inspirées des sciences et des arts.
 

Le département Les Cabinotiers de Vacheron Constantin s’inscrit dans cette tradition, à travers des pièces uniques que la Maison propose à ses clients ou des montres sur-mesure que ceux-ci lui commandent. Maîtres horlogers, ingénieurs, designers et artisans y explorent les technologies les plus avancées associées aux métiers d’art, dans le respect de la bienfacture et des savoir-faire traditionnels qui se transmettent au sein de la manufacture.
 

Les nouveautés Mécaniques Sauvages en sont aujourd’hui la dernière illustration. Grâce à l’affichage horloger décentré du calibre 2460 G4, tigres et pandas s’animent au milieu du cadran dans un réalisme éclatant sous l’effet de la gravure en ramolayé et de la marqueterie de bois.

Deux techniques à l’honneur

Seules ou combinées, la gravure et la marqueterie de bois donnent vie aux garde-temps par un jeu de contrastes, de couleurs et de volumes qui restituent les postures et le caractère des animaux sauvages, l’atmosphère des décors et la luxuriance de la nature. Ces techniques artisanales ancestrales exigent patience et minutie, et nécessitent plusieurs années d’expérience. Les pièces Les Cabinotiers Tigre impérial et Tigre majestueux mettent en valeur le mariage de gravure bas-relief (les tigres et les rochers) et de la marqueterie de bois (l’arrière-plan du paysage et les feuillages). Les montres Les Cabinotiers Panda sauvage sont entièrement réalisées en marqueterie de bois.
 

La gravure en ramolayé ou bas-relief

La gravure, en faisant saillir le relief, les finis et les mats, intensifie le rendu. La technique du ramolayé, ou bas relief, consiste à sculpter l’or pour créer un effet tridimensionnel : par une sorte de trompe- l’œil, les tigres se mettent en mouvement, marchant dans la jungle ou se tenant prêts à bondir du haut des rochers. Avec une précision extrême, le maître graveur joue sur les terminaisons de surface, en alternant avec subtilité mat, poli, satiné et ciselé pour apporter les contrastes qui donneront vie aux animaux, ou en recourant à l’oxydation noire, une coloration qui souligne les rayures du pelage des tigres. L’attention portée aux détails et aux finitions est une signature de Vacheron Constantin. Les tigres sur leur rocher représentent pas moins de 60 heures de gravure ; les tigres marchant dans les feuillages : environ 40 heures.
 

La marqueterie de bois

La marqueterie, par l’association d’une multitude de placages de bois minuscules, coupés un à un à la main, aux nuances et formes variées dessine le motif. Plus de 200 pièces ont été assemblées pour composer le décor des tigres sur leurs rochers, environ 130 pièces pour celui des tigres dans les feuillages, et plus de 300 pour les pandas. De cinq à vingt essences de bois ont été utilisées pour chacun des cadrans, selon la complexité des décors. La richesse de cette gamme chromatique accentue le réalisme de la scène. Celle-ci prend forme sous la main experte du maître artisan, qui façonne chacune de ces pièces uniques avec délicatesse et sensibilité. D’un geste net et précis, presque intuitif car expérimenté, il coupe chaque morceau, qu’il encastre soigneusement les uns aux autres, en orientant les veines du bois et en alignant les fibres.
 

Une autre lecture du temps

Le calibre 2460 G4 a choisi de dompter le temps par un affichage des heures, des minutes, du jour et de la date au moyen de quatre ouvertures disposées sur le pourtour du cadran. De quoi laisser place aux figures libres de tigres et de pandas sublimés par les métiers d’art.
 

L’un des défis des maîtres horlogers a été d’intégrer une lecture du temps qui soit à la fois techniquement et harmonieusement compatible avec l’esthétique des cadrans. Le calibre automatique 2460 G4, entièrement développé et manufacturé par la Maison, permet ainsi une mise en scène singulière et optimale des arts décoratifs, donnant la vedette au motif central du cadran. L’affichage du temps, sans aiguilles, se fait au travers de quatre guichets à 11h30, 1h30, 7h30 et 4h30, s’ouvrant respectivement sur l’heure, les minutes, le jour et la date. Ces indications s’effectuent à l’aide d’un quatuor de disques, traînants pour les deux premières et sautantes pour les dernières. D’une autonomie de 40 heures, le calibre 2460 G4 est logé au cœur d’un boîtier en or de 41 mm de diamètre. Décoré selon les plus hautes exigences en terminaison horlogère, il apparaît généreusement à travers le fond ouvert.